Parmi les différentes installations artistiques, mon coup de coeur est l’installation “RE” de Bram Snijders & Carolien Teunisse.
Imaginez une salle blanche dans laquelle se trouve une installation d’un mètre carré constitué de quatre trépieds. Sur celui disposé au centre, un vidéoprojecteur, sur les 3 autres des simples miroirs.
Le concept est simplissime, via le jeu de miroirs le vidéoprojecteur projette sur lui même une enveloppe numérique dynamique, bluffant.
Plus d’info sur le festival scopitone : http://www.scopitone.org/
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La date d’aujourd’hui est soulignée au rouge sans par un fait divers horrible. L’horreur humaine et les pires sentiments on secoué notre hexagone et sorti les gens de leur réserve.
Cet après-midi, un de mes “amis” Facebook publie une photo de guillotine avec le sous-titre “C pour quand le retour de la bonne veille guillotine, pour les tueurs d’enfants, un beau symbole de séparer la tête du reste…” là, je me pose la question suivante : et si je ne suis pas d’accord ? si ma conviction personnelle est que “tuer, même le pire salopard du monde n’est pas la solution”, je fais quoi? Sur Facebook j’ai 5 solutions possibles [ne rien faire] , [j'aime ], [commenter], [envoyer un message personnel] ou [enlever de la liste d'ami].
Le [j'aime] est évidement inapproprié, [enlever de la liste d'ami] n’a rien de constructif et serait stupide, car je trouve sympa de pouvoir garder contact avec cet “ami” pour d’autres types d’échanges. Je suis donc condamné à l’inaction [ne rien faire] ou la prise de position publique [commenter] / ou privé [envoyer un message personnel]. L’usage de Facebook est plutôt adapté à laissé la place aux commentaires positifs, encouragements… la prise de position (et le contre argumentaire qui l’accompagne) est assez mal vécue, ça crée rapidement un sentiment d’agression envers l’émetteur alors que le bouton [j'aime] est clairement orienté vers l’approbation du contenu du message. Dans ma boîte à idées aujourd’hui, un bouton [je n'aime pas] pour pouvoir aussi dire que l’on est pas d’accord sans sortir l’artillerie lourde.
PS : Ce soir, c’est l’absurdité sémantique du bouton “j’aime” qui me saute aux yeux quand il sert à réagir à un article parlant de meurtres d’enfants…
]]>J’avais alors imaginé qu’un nouveau standard devait émerger pour accompagner cette mutation et nous libérer des câbles et ventouses en tout genre. Une prise unique intégrée au tableau de bord et servant à fixer (solidement) un support, alimenter les périphériques et les connecter à un réseau interne à la voiture (commande au volant, audio/vidéo)
J’avais appelé ce concept le Flower connector.
Voici les quelques pistes notées à l’époque :
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Description générale :
Le flower connector est un concept qui a pour but d’uniformiser les connexions et les fixations des périphériques mobiles. Cette connexion centralise une fixation, une alimentation électrique, une entrée-sortie audio, une communication de données numériques et une connectique d’antenne GPS.
Le but est de proposer l’intégration de cette connectique aux constructeurs automobiles pour que les futurs véhicules puissent permettre la fixation, l’alimentation et la connexion de périphériques mobiles tout en conservant une ergonomie et une esthétique. La norme sera donc également vendue aux constructeurs de matériel mobiles ainsi qu’aux fabricants d’accessoires.
Description technique :
La connexion comprend les caractéristiques suivantes :
• Fiche en étoile à 5 branches à pointes arrondies + un détrompeur
• 2 connecteurs pour l’alimentation 12 V (Standard batterie)
• 4 connecteurs pour la sortie audio stéréo (raccordement autoradio)
• 2 connecteurs pour l’entrée audio (branchement microphone)
• 2 connecteurs data (pour raccorder des périphériques USB à un éventuel ordinateur de bord)
• Clip de fixation
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Les questions qui peuvent se poser sont :
• la compatibilité avec les ordinateurs de bord ?
• Besoin d’une connectique vidéo ? (pour y relier un écran lcd par exemple)
• Mise en réseau des différents connecteurs d’un même véhicule ?
etc…
Je suis preneur de vos commentaires sur ce concept resté dans les cartons, mais qui me semble toujours d’actualité.
Après avoir traité des nouveaux modèles de consommation à l’ère numérique, du troc, du partage et de la location entre particulier, une chose essentielle est ressortie. Tout ces systèmes ne fonctionnent qu’a deux conditions : avoir un certain nombre d’utilisateurs (masse critique) et développer la confiance envers le système et ses utilisateurs. Nous avons ainsi beaucoup parlé de réputation et de la gestion de celle-ci. Chaque service développe (à l’instar du pionnier eBay) des systèmes de notations et de commentaires permettant aux utilisateurs de se batir une réputation sur une plate forme.
J’ai trouvé très intéressant ce qu’Antonin imaginait en fin de présentation, ce qui vaux à ce billet de rentrée dans cette boite à idée :
« Aujourd’hui, chaque site développe son propre profil avec la réputation qui l’accompagne. Demain, on pourrait imaginer d’agréger ses différentes réputation afin de crédibiliser un profil global ».
Une belle idée de service à créer, à l’instar d’un Klout, qui a pour objectif l’évaluation de votre influence sur les réseaux sociaux (www.Klout.com); créer un système d’agrégation de vos multiples réputations sur la toile. En réflechissant au service, je suis certain que l’on pourra trouver des liens a faire avec des réseaux sociaux de type FaceBook et Twitter ainsi que des portail d’agrégation de profil comme about.me ou flavors.me.
PS : n’hésitez pas à laisser un commentaire si vous pensez que ce type de services existe, je suis preneur.
Plus d’info :
- Le blog d’Antonin Léonard : http://consocollaborative.com
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A force d’utiliser ordinateur et téléphone portable, je constate une chose, c’est ma dépendance à une source d’électricité.
Petit exemple, j’étais la semaine passée au salon Métro num à Bordeaux
(http://www.metro-num.com), et comme de plus en plus souvent, le contenu des ateliers et conférences était aussi enrichissants que les retours des spectateurs et participants via twitter. Ce qui veux dire que le téléphone et le laptop ont beaucoup servi pour suivre le “LiveTwitt” (flux temps réel des publication via le réseau social Twitter). et comme l’autonomie est limitée, identifier les prises de courants étaient indispensable. Et quand on veux charger en même temps ordinateur et smartphone, pas toujours évident. Petit idée donc, pourquoi pas un chargeur de portable incorporant une prise USB ?
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Entrepreneurs, blogeurs, citoyens, n’hésitez pas à vous en emparer, à réagir, à commenter
]]>Ce jeune homme à l’art de s’adresser à sa génération en mêlant la culture « geek » aux objets du quotidien. Mon coup de cœur du jour est pour ce simple ouvre-bouteille frappé CTRL+O (raccourcis clavier pour ouvrir un fichier informatique). Métaphore simple et efficace pour ce sympathique objet,
Artemy avait usé du même détournement pour la gomme Deletus ou la punaise Orbiculus
Pour le plaisir, consultez donc ces quelques autres objets :
Spectrus (fan de Pink Floyd lui aussi ?)
Povodokus (n’oublie pas de descendre le chien)
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Et puis viens le moment où tout bascule, la première embuche, on touche un ennemie ou l’on tombe sur un pic : pas de perte d’énergie, pas de perte de vie, pas de retour en début de niveau, juste le temps qui s’arête. On découvre alors l’utilité d’un second bouton qui permet de remonter le temps et corriger son erreur. Et puis, bien sur, ça se complique, on comprend que tout n’est pas si simple, certains éléments subissent les retours dans le temps mieux que d’autres, de subtiles mécanismes de jeux digne des meilleurs casse tête pointe le bout de leurs nez.
Il est disponible sur Xbox, PS3, PC et Mac via des plateforme de téléchargement.
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Encore une confirmation, nos voisins belges ont un dont pour la BD, c’est du moins le cas de Bernard Yslaire qui à su interrompre sa série Sambre pour accoucher de XXe Ciel en changeant de siècle.
En retraçant l’Histoire d’Eva Stern, née en 1900 et en fin de vie en 1998, Yslaire nous entraine dans une relecture du 20ème siècle à travers une histoire du photoreportage et l’avènement d’internet. Les Hommes volants, l’espace, la photographie, la mort, l’éternité et la psychanalyse se mélangent dans un subtil récit.
Ce qui est nouveau dans la narration d’Yslaire, c’est à la fois l’usage d’un dessin photoréalisme et d’un montage (mise en page) numérique novateur. Une Frise chronologique rythmée par des arrivées d’e-mail d’un certain @nonimous, l’esprit de Franck Stern, le frère d’Ema, à t’il rejoint le web pour l’éternité ?
N’y cherchez pas de réponse, profiter de ce voyage intemporel à travers un siècle riche en histoire.
Dans la série :
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(Cliquez sur l’image pour voir le résultat…)
]]>La version 3 (celle que j’utilise) à déjà un capteur optique réglable (jusqu’à 2600 dpi) 4 boutons et une molette cliquable. La version 4, sortie en 2010, intègre un bouton supplémentaire (sous le pouce) et un réglage possible sur la souris de la vitesse du pointeur. Plus d’info sur le site d’Evoluant
Maintenant disponible sur Amazon.
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Gilbert Garcin est un jeune premier de 80 ans. Une vocation de photographe qui lui est venu comme un passe temps de retraité. Un joyeux cocktail : le personnage qui se met en scène est constitué d’une bonne partie de Gilbert Garcin, une pincée de Tati, un soupçon d’Hitchcock et une poussière de Magrite. Au delà de la mégalomanie et de l’exercice de style, un véritable talent !
Je recommande ce beau livre, Mister G. chez Filigranes Editions. La couverture à l’ancienne et la finition arrondie des angles façon carnet Moleskin™ sublime le charme de ces clichés/montages noir et blanc.
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